Centre de redressement de Kara : Ce pensionnaire fait de terribles confidences

sur la base des déclarations de cet homme, il ressort une défaillance lourde des services de renseignement de ce pays, ou du moins un refus d’agir des responsables; ou pire une acceptation par les politiciens qui nous dirigent.
lorsque de pareils faits sont commis en pleine ville (ouakam, zone b, guédiawaye, malika) pendant plusieurs années et que l’etat ne réagit pas, il y a un problème et un gros.
cela voudrait-il dire que des « centres d’entrainement de terroristes » peuvent être implantés dans la capitale sans que l’etat soit au courant ?
et le pire, c’est que, dans son communiqué, la gendarmerie a insisté sur le fait que ces lieux de détention extrajudiciaires, ont été découverts incidemment car les gendarmes étaient sur les traces de voleurs de scooters !!!
autre point sombre, comment « colonel », arrêté avec des paquets de chanvre indien, a-t-il pu échapper à la « descente musclée » des gendarmes (la presse dixit).
parmi les gendarmes intervenants y aurait-il des disciples de kara qui l’auraient libéré (à l’image de la dame diarra, prostituée relâchée parmi 10 de ses collègues par un policier parce qu’elle s’appelle mame diarra) ?
ceci est d’autant plus inquiétant que, sécuritairement parlant, une bagarre entre gign et forces spéciales de l’armée nationale a éclaté au cours d’exercices de lutte contre l’insécurité avec 15 blessés à la clef (presse).
les services de renseignement auraient-ils été exclusivement dédiés aux opposants politiques ?