Massacre de Karma au Burkina Faso : Les autorités réagissent au communiqué de Sissoco Embalo de la Cédéao

Au Burkina Faso, le gouvernement interpelle Umaro Sissoco Embalo. Après l’exécution de près de 150 personnes dans le village de Karma le 20 avril dernier, le chef de l’État bissau-guinéen et actuel président en exercice de la Cédéao avait utilisé le terme de « génocide » pour qualifier le massacre. Une définition jugée « hâtive et péremptoire » par les autorités burkinabè, dont l’armée est accusée par les ressortissants de Karma d’être responsable de ces assassinats, renseigne Rfi.