Sonko au coeur de la presse de ce week-end pour « viol »

A la vitesse de l’éclair. L’affaire de viol et menaces de mort dont est accusé Ousmane Sonko, atteint des proportions inquiétante pour le leader de Pastef-Les Patriotes. En effet, selon plusieurs journaux de ce samedi, au deuxième jour de la plaine déposée par la victime, le candidat arrivé 3e à la dernière présidenteille au Sénégal va, incessamment, recevoir sa convocation. D’après Libération, les éléments de la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane qui vont remettre, ce week-end la convocation à Ousmane Sonko, ont investi, vendredi, tard dans la soirée, les locaux du dsalon de massage incriminé. Même si Sonko persiste et insiste sur des « mensonges crapuleux », la machine judiciaire semble s’ébranler contre lui. Après Libération, Kritik évoque aussi le sujet. Le journal de Sipress pointe à sa « UNE » : Sonko « massé » par le pouvoir avant de faire dans ce commentaire : « Est-il un coureur de jupons au point de travestir son destin politique pour des parties de jambes en l’air ? »

Un saut à Mermoz où le quotidien Enquête braque aussi ses projecteurs sur l’affaire. Mais nos confrères, pour faire dna sla prudence, s’interrigent plutôt qu’ils n’affirment les accusations de viol au cours desquelles, Sonko se retrouve. « Machination ou vérité », c’est le titre principal qui trône en « UNE » du journal ce samedi. Alors que pour le Quotidien le quotidien de Madiambal Diagne qui, toujours dans le jeu de mot ou le calembour, écrit : « Les Sweet d’un massage ». Sweet comm le nom du salon de massage qu’aurait fréquenté, à plusieurs reprises, le trespnsable de Pastef pour des massage tonifiants. Evoquant le même sujet, Source A indique c’est cette affaire se précisait, le procureur de la République, Serigne Bass Gueye tient là, une occasion pour se venger de Sonko qui, l’ccuse depuis des années d’être « un procureur de Macky Sall pour l’accabler de sarcasmes » chaque fois que nécessaire. « Bass sera-t-il revanchard ? », s’interroge Source A. DirectNews pour sa part, lâche en « UNE » : « La prpriétaire des locaux blanchit Ousane Sonko ». Dans tous les cas, cette affaire est partie pour faire beaucoup de bruit. Dans les réseaux sociaux, terrain fertile du patriote en chef, les commentaires vont bon train entre partisans, sympatisants et pourfendeurs de Ousmane Sonko.