Nouvelles révélations sur la femme qui a déterré son « fils » au cimetière Tefess de Mbour

Munie d’une bouteille d’essence, une femme s’est nuitamment introduite dans le cimetière, exhume le corps d’un garçon (supposé être son fils) de deux ans et demi. Ensuite, elle l’ampute d’un de ses bras, avant de vouloir brûler le reste du corps avec de l’essence, sur la plage.

L’enquête ouverte par les policiers du commissariat central de Mbour commence à révéler ses petits secrets. La mise en cause se nomme Aïssatou Dramé. Agée d’une soixante-dizaine d’années, elle domiciliée à Joal, souffrirait de troubles mentaux depuis 20 ans.

Originaire de Joal, la septuagénaire Aïssatou Dramé ne jouit pas de toutes ses facultés mentales. Son état de santé a même été révélé aux enquêteurs, selon des sources de L’Observateur, par un médecin légiste de la place.